Les cabinets qui composent le réseau ont les mêmes clients et problématiques organisationnelles que les nôtres

Le 20 mai 2022 par ,

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INTERVIEW

Nouveau venu chez Gesica, Josselin Chapuis supervise le contentieux en droit civil, droit immobilier, commercial et des affaires du cabinet familial.

En quelques mots, qui êtes-vous ? 

Viennois d’origine, reprise d’un cabinet familial ancien de plus de 100 ans, je suis associé à Maître Falcon de Longevialle. Après avoir mené des actions de croissance interne et externe, nous comptons aujourd’hui trois implantations, à Vienne, Saint-Jean-de-Bournay et Bourgoin-Jallieu qui regroupent au total 15 collaborateurs. Nous intervenons sur tout le Nord-Isère, sur un croissant qui empiète sur l’Isère, le Rhône, la Drôme, et la Loire et l’Ardèche. Nos clients viennent de Grenoble, Chambéry, Lyon, Valence ou encore Saint-Etienne.  Nos clients sont des personnalités de droit publics, des organismes sociaux, des assureurs et banques mais également des PME / TPE / ETI et leurs dirigeants.

Comment s’organisent vos activités ?

Notre cabinet est composé de trois équipes. La première est dédiée au droit des personnes (adoption, divorce, succession, préjudice corporel). La seconde s’occupe de droit des biens et de la construction, droit des assurances. La troisième se consacre au droit des sociétés et de leurs dirigeants (création, transmission, restructuration, rédaction de contrats). Nous faisons du conseil et du contentieux. Je m’occupe plus particulièrement des deux dernières activités tournées vers l’entrepreneuriat. Historiquement contentieux et depuis une dizaine d’années également cabinet Conseil. Je suis convaincu que le contentieux doit être employé en dernier ressort. Il y a beaucoup d’alternatives pour le règlement des litiges que désormais un troisième pilier doit être proposé à nos clients : la médiation. Je suis formé à la médiation et suis médiateur diplômé. 

Pourquoi avoir rejoint Gesica ?

Je trouve que Gesica a une image moderne. J’avais besoin d’intégrer un réseau francophone. Parler français à un avocat italien, espagnol ou portugais, cela est important pour moi. Et puis les cabinets qui composent le réseau ont les mêmes clients et problématiques organisationnelles que les nôtres. J’ai déjà fait appel à des confrères sur des sujets très spécifiques ou à l’étranger. Inversement j’ai déjà été sollicité par des membres du réseau sur des dossiers.

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